mardi 2 décembre 2014

Le Top 20 des moments "Playstation" pour les 20 ans de la licence.


La Playstation a 20 ans ce 2 décembre (yayiiii…….pardon). La marque est désormais rentrée dans notre vocabulaire comme le « Coca Cola » ou le « Sopalin » (non désolé, je n’ai pas d’autres exemples qui me viennent à l’esprit), et pour fêter ça, le Morganizzer se doit d’écrire un article en l’honneur de la console de Sony. Voici donc un Top 20 (comme vingt ans, ok c’est facile) des moments qui m’ont marqué dans ce royaume dominé par la Playstation !


20) L’Action Replay : Un constat, avant l’arrivée de la PS3 en 2006/2007, les jeux étaient difficiles, voir quasi impossibles à terminer, et donc le seul moyen de finir un jeu était d’acheter un boitier que l’on pouvait brancher derrière la console et hop ! De multiples codes de triche étaient à disposition : vies infinies, munitions illimitées ou grossir les roues de vos voitures (non aucun intérêt je sais, mais ça reste fun). Résultat : « Final Fantasy 7 » pouvait se finir les doigts dans le nez  et « Metal Gear » se finissait en deux heures, mais bon le plaisir était moindre.

19) Le Online : Autant vous le dire tout de suite, je déteste jouer « on-line » ou « en réseau », certes cela permet de rencontrer de nouvelles personnes, mais se faire insulter par des Italiens suite à un carton sur FIFA ou se faire battre par des jeunes de 8 ans sur « Call of Duty » (oui mon égo en prend un coup) reste un échec dans ma vie de gamer. Mais au final, cela reste une grande innovation, et puis des jeux comme « Destiny » ou « RAW » m’ont rassuré de la présence d’âmes sympathiques sur cette planète.

18) Le PS Move : Un des plus beaux échecs de Sony au niveau de l’immersion, mais au moins j’aurai appris l’existence d’un des sports les plus fun de l’histoire : le DISCOGOLF, sans oublier les parties de pétanque, oui dis comme ça, cela semble ringard, mais testez avant de juger. Le constat reste tout de même mitigé, un projet sur lequel on reste sur sa faim.

17) Les RPG : De « Final Fantasy » à « Grandia » en passant par « Dragon Quest », que de temps à chercher des épées, des Bahamut, des potions, tant de royaumes imaginaires et de personnages farfelus……….et de cartes mémoires pleines !



16) « Little Big Planet » : Moi qui pensais que « L’Odyssée d’Abe » était le seul jeu de plateforme chelou de la console, et là, Sackboy est arrivé dans ma vie et……………..je crois ne pas avoir autant pété de câbles devant un jeu. Non mais sérieusement, en gros si tu n’as pas de potes, tu ne peux pas le finir à 100%. Déconseillé aux insociables.

15) « Assassin Creed » : Altair avait mal commencé la série avec ses multiples missions à répétition, mais Ezio nous a fait comprendre que cette saga n’était pas comme les autres. À chaque épisode, Ubisoft a repoussé les limites du jeu d’aventure. Du haut d’une église aux fins fonds d’une pyramide, en passant par la cale d’un navire, jusqu’où notre instinct d’Assassin s’arrêtera ?

14) « Mass Effect » : Je ne remercierai jamais mon pote David de m’avoir initié à cette pure beauté. Un Space-opéra où chaque geste et action changera l’issue de votre histoire. Commandant Sheperd est clairement rentré dans le temple de la renommée (ce n’est pas pour rien qu’il se trouve sur la bannière d’accueil de ce blog), tout comme ses compagnons d’infortune. À conseiller à tout fan de science-fiction, de scénario, d’aventure et de jeux vidéo tout simplement. Et pour les plus pervers d’entre vous, il est possible de conter fleurette à certaines héroïnes du second opus, enfin…..si vous vous débrouillez bien.

13) « Crash Bandicoot » : Il aurait dû être le concurrent direct de Mario et Sonic, et au final, une autre personne a pris sa place comme emblème de la Playstation (on y reviendra plus tard). Crash est LE jeu de plateforme de la console à son arrivée, on ne pouvait pas passer à côté, mais malgré un léger attrait pour « Crash Team Racing », on ne prend pas autant de plaisir qu’avec un plombier ou un hérisson, mais bon, qui ne raffolait pas du cri « Angélawa » du masque protecteur ?



12) « God Of War » : Pourquoi ai-je mis autant de temps à découvrir ce dieu Grec ? Du sang, des boobs, de la crevaison orbitale, ce jeu à tout pour lui et qui n’a pas crié devant son écran en prenant la place de Kratos ? ….(ah ok, je suis donc fort atteint).

11) Les Démos : Si vous étiez comme moi, avec peu ou pas d’argent de poche, la seule solution pour vous procurer du plaisir sur console, hormis les anniversaires et Noel : les démos de Playstation Magazine. 10 jeux qui se terminaient en 5 minutes chacun (une pure frustration), mais bon, on trouvait ça aussi drôle qu’une partie de « Candy Crush » et j’ai découvert de vraies pépites comme GTA 1er du nom ou « Les Chevaliers de Baphomet ».

 10) « Resident Evil » : Offert par mes parents un Noel, joué 5 minutes, rencontre avec  un mort-vivant, traumatisme ultime, on éteint la console, ne pas y toucher pendant un an : voilà ma première rencontre avec ce jeu. #flippette #jaihonte

9) Les jeux de catch : De « WWE Smackdown » à « WWE2K15 », les éditeurs comme THQ ou « 2K Sports » m’ont permis de me défouler à coups de chaises, tables, barbelés et combien d’heures avec mes amis sur des 2 vs 2 ou sur le « Royal Rumble » . Que de souvenirs dans la peau de Triple H, Stone Cold ou encore The Rock. Des jeux que je ne jetterai jamais « par-dessus la troisième corde », tout comme un bon vieux « Tekken », Yoshimitsu si tu me lis.

8) « Singstar » : Tout est dit dans mon post précédent, mais ce jeu reste un véritable plaisir dans le domaine du divertissement, se prendre pour John Lennon ou Adèle n’est plus impossible, mais bon ayez de bons voisins c’est mon conseil.



7) « The Last of US » : On ne reste pas insensible à cette aventure, Joel et Ellie représentent le duo attendrissant et charismatique de ces dernières années, au- dessus des « Jak and Daxter », « Chris Redfield et Jill Valentine » ou encore « Zlatan et Adriano ». Une pure qualité graphique, un scénario à vous couper le souffle, un melting-pot de sentiments, bref, il faut se lancer dans cette expérience. Je vous avoue que sans «The Walking Dead » et le tutoriel « by » Michonne « Comment se défendre méchamment face à l’adversité (ou un mec contaminé) ? »,  je n’aurai pas tenté l’aventure, parce que se faire bouffer par un mi-homme, mi- champignon, m’a rappelé les mauvais souvenirs de « Resident Evil ».

6) « Tomb Raider » : La voilà, le symbole de Sony, une brune aux gros seins, qui manie aussi bien les uzis que l’arc. Elle était là pour nous, et elle sera toujours là après nous. Merci encore à Sony de l’adapter à travers les générations. Et merci de m’avoir fait croire qu’il existait un code pour la déshabiller. #adopervers

5) GTA ou Grand Theft Auto : Oui j’aimais écraser des scouts dans le premier épisode, oui j’aimais changer de maison comme de caleçon, oui j’aimais me balader de ville en ville en passant par la campagne, oui je continue à aimer le fait de réussir des missions « borderline », mais il faut le dire une bonne fois pour toute : Transgresser des lois, c’est fuuuun. De Niko à Trevor en passant par Bubba, cette série est certainement une des plus réussies de l’histoire du jeu vidéo. #pegi18.

4) Uncharted : Nathan Drake a clairement comblé un vide dans ma vie de gamer, bon il y a les détracteurs qui diront que cette saga n’est basée que sur des cinématiques, mais chercher des trésors, sauter d’un train en marche, donner des coups d’espadon à vos adversaires et traverser le globe de long en large, excite le petit Indiana Jones au fond de moi. Ok Lara Croft l’a fait, mais je reste toujours sur les fesses lorsqu’un nouvel épisode de Drake sort sur le marché, vivement 2015 pour le passage au « Next Gen ».



3) Metal Gear Sold : Solid Snake et ses aventures ont clairement remis en question la limite entre le cinéma et le jeu. Les scénarii sont dignes d’un Paul Haggis, les méchants sont devenus aussi cultes que les « good guy ». Que demander de plus ? Mise à part la possibilité de raccourcir les cinématiques de fin qui durent 90 minutes. Chaque suite repousse encore plus le gameplay des jeux d’aventure et d’espionnage. Snake nous a fait comprendre qu’il était désormais possible de gagner sans tuer, qu’une caisse en carton était aussi important qu’un silencieux et qu’affronter un boss en changeant le port de la manette (et d’éteindre le jeu pour les plus idiots) était possible. Snaaaaaaaaaaake.

2)  Les jeux de football : je pourrai écrire un pavé sur ce domaine, mais j’irai à l’essentiel, je remercie ISS pour son gameplay, FIFA pour sa bande son, Ronaldo V-Football pour sa manette jaune Bresil, Adidas Power Soccer pour ses coups de pied karaté et ses licences et le Monde des Bleus pour son mode carrière. #itzenegame

1) Mon meilleur moment Playstation, c’est simplement les étoiles dans les yeux  à chaque fois que j’achetais une console, à chaque fois qu’un ami venait jouer, à chaque fois qu’on me prêtait un jeu ou que mon voisin me disait « hey j’ai un jeu interdit que mon père a acheté » ou que mon pote de collège me répliquait « si tu veux je peux te graver un jeu pour 50 francs ». Tous ces moments où la Playstation était au cœur des discussions, et ce depuis 20 ans, voilà ce que je veux transmettre à mon entourage ou à ma descendance !

Et vous ?

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